« À mon âge, on s’engage » – Juliette
Juliette interroge les habitudes d’engagement des jeunes : partager une story… est-ce suffisant ? « À mon âge, on s’engage », rappelle-t-elle, en soulignant que donner son plasma demande un peu plus de temps, mais change réellement des vies, comme celles de Mathys, Marine ou Virginie, qui doivent leur traitement à la générosité des donneurs.
À travers son regard, le don devient un acte profondément citoyen : une façon de prendre soin les uns des autres, aujourd’hui et demain.
Un “or liquide” qui change des vies – Lynn-Isore
Lynn-Isore compare le plasma à « un liquide doré comme l’étoile qui brille au sommet du sapin ». Derrière l’image, un message essentiel : ce composant du sang, indispensable à la fabrication de médicaments, sauve chaque année plus de 500 000 personnes. Elle rappelle un fait souvent méconnu : certains patients ont besoin de plasma toutes les 2 à 3 semaines. Un besoin régulier et vital, qui dépend directement de la générosité des donneurs.
« Donner, c’est s’engager », résume-t-elle simplement. Un engagement accessible à tous, dès 18 ans : 1h30 suffit pour accomplir ce geste essentiel.
« Goutte à goutte, il est temps de guérir » – Axel
Axel met en lumière une autre réalité : la France importe plus de 65 % des médicaments issus du plasma. Une dépendance inquiétante qui souligne l’urgence d’augmenter le nombre de donneurs en France. Une situation qui l’interpelle, et qui devrait tous nous mobiliser. Il rappelle lui aussi que 500 000 personnes sont soignées chaque année grâce aux dons de 130 000 donneurs… un chiffre insuffisant. « Ce n’est pas assez ! ». Selon lui, le don de plasma est un enjeu de santé publique, mais aussi de solidarité nationale.
Son appel final résonne comme un slogan :« La fraternité, c’est comme le plasma : on a ça dans le sang ! ».